Le Prisme de l’Hystérie

La décomposition du mouvement se mêle au corps de la femme sous l’emprise d’une force sexuelle et sensuelle.
Une critique est établie sur les diagnostics médicaux misogyne du corps subissant contorsions et déformations de son psychisme. Empreint mais fort de ces crises, ce corps désinhibé évoque désir et puissance.
Distorsion de l’esprit, fragmentation du corps, se déploient dans un univers psychédélique fait d’un érotisme dérangeant. Le temps s’arrête et se brise pour laisser voir la prestance du corps féminin. La sexualité féminine, belle, harmonieuse, puissante, que la société brime, censure et aliène.

Acte I : Antoine, je t’aime.

Acte II : Hallucinations

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